Pierre Belhache

Depuis lundi 15 septembre 2025, la ville catalane de Gérone applique sa zone à faibles émissions (ZBE, équivalent espagnol de nos ZFE). Concrètement, l’accès est désormais restreint aux véhicules les plus polluants, avec des règles précises d’horaires, d’exemptions, d’enregistrement et de contrôle par caméras. Si vous traversez la Catalogne ou prévoyez un city-break à Gérone, voici l’essentiel à connaître pour les conducteurs français afin de rouler sereinement et d’éviter l’amende de 200 €.

Les petits espaces (studio, salle d’eau étroite, chambre d’hôtel, van ou tiny house) exigent des accessoires malins et des formats ultra-compacts. Pour les adeptes des savons solides, le défi est de trouver un porte-savon adapté (≤ 9 cm de large) qui garde le savon au sec sans encombrer le lavabo. Fabriquer votre porte-savon vous-même permet de relever ce défi tout en réutilisant des matériaux écologiques. Un bon porte-savon doit en effet laisser l’eau s’écouler et permettre au savon de sécher entre deux utilisations, afin qu’il ne fonde pas et dure plus longtemps. En prime, le DIY réduit les déchets et ne coûte presque rien, puisque vous pourrez upcycler des objets du quotidien (bambou, liège, couvercles.)… Voici 5 modèles de porte-savon ultra-compacts à réaliser vous-même, avec pour chacun une description, le matériel, les étapes de fabrication, les avantages/inconvénients, des conseils d’entretien, ainsi qu’une estimation de la difficulté et du coût.

Chaque matin, des millions de filtres de café finissent à la poubelle… alors que ce déchet organique peut rendre service à la maison, au jardin et en DIY. Nous avons passé au crible la littérature scientifique et les recommandations d’organismes de référence pour distinguer les vrais bons usages du marc de café des fausses bonnes idées. Zoom sur 10 usages qui fonctionnent vraiment et 5 qu’il faut éviter.

Depuis le 20 juin 2025, une nouvelle étiquette européenne (EU) est obligatoirement affichée sur les smartphones et tablettes vendus en France et dans l’UE. Elle promet de rendre nos achats plus lisibles, plus durables et moins générateurs de déchets électroniques. Oui, c’est une étiquette à la manière des frigos et TV, mais repensée pour nos téléphones : elle parle autonomie, réparabilité, résistance aux chutes, à la poussière et à l’eau, et renvoie vers une fiche officielle via un QR code. Comment lire les pictos pour acheter durable et garder son téléphone plus longtemps ? Voici comment s’en servir concrètement pour faire le bon choix, rallonger la durée de vie de son appareil et alléger sa poubelle.

Lire, c’est voyager, s’émouvoir, apprendre. Mais aujourd’hui, ce plaisir est accompagné d’un questionnement écologique : quel support est le plus respectueux de la planète ? Faut-il privilégier un livre papier issu du recyclage ou opter pour une liseuse ? Explorons ensemble ce match vertueux. À la clef : des repères concrets pour faire des choix éclairés, sans culpabilité.

Vous vous demandez sûrement quelles sont les premières habitudes à changer facilement pour vous lancer dans une démarche zéro déchet ? Vous n’êtes pas le ou la seul(e), et surtout, vous êtes au bon endroit. Pas besoin de bouleverser votre vie pour la rendre plus respectueuse de l’environnement. Avec 6 gestes simples à adopter, vous allez avancer en toute confiance, dès maintenant et à votre rythme. Dans cet article, vous trouverez des conseils pratiques, nourris par l’expérience, pour vous accompagner pas à pas vers une transition écologique sereine.

Fabriquer son propre nettoyant WC est une démarche écologique, économique et satisfaisante. Mais il y a un hic : parfois ça mousse beaucoup trop, parfois pas du tout. Résultat : produit inefficace, débordements ou découragement. Alors, pourquoi votre nettoyant WC DIY mousse trop ou pas assez ? La réponse tient à quelques erreurs de formulation très fréquentes. On passe ici en revue 5 erreurs courantes et leurs solutions immédiates, avec des recettes naturelles corrigées pour que votre produit WC maison soit efficace, agréable à utiliser et parfaitement équilibré.

Le pique-nique en plein air est un moment de plaisir simple : on s’installe dans l’herbe, on grignote en famille ou entre amis, on profite du soleil... jusqu’à ce qu’il faille ranger et trier ses déchets. Mais que faire lorsqu’aucune poubelle n’est en vue 😕 ? Pas question de les laisser dans la nature. Chaque déchet abandonné contribue aux 1 million de tonnes de déchets sauvages qui recouvraient déjà la France en 2020 (soit 15 kg par Français). Pour pique-niquer de manière écolo et civique, il existe heureusement des astuces toutes simples. Nous allons voir comment trier correctement ses déchets après un pique-nique même sans poubelle à proximité.

L’été est l’occasion de flâner sur les marchés en plein air, entre étalages de fruits juteux, légumes colorés et stands d’artisanat local. Mais ces balades gourmandes et créatives peuvent aussi générer leur lot de déchets (sachets plastiques, barquettes, emballages en tout genre). Or, chaque Français produit déjà en moyenne plus de 500 kg de déchets ménagers par an. Et si cette année on relevait le défi d’un marché d’été zéro déchet ? Voici des conseils pratiques et la liste pour faire son marché d’été zéro déchet pour profiter des marchés estivaux tout en évitant les déchets inutiles.

Votre crème solaire est terminée et une question se pose : que faire de vos tubes de crème solaire vides ? Ne les jetez surtout pas n’importe où 😅! Entre le recyclage, la réutilisation et les programmes spécialisés, il existe en France de nombreuses solutions pour donner une seconde vie à ces emballages. Faisons le point, par type d’emballage, pour vous aider à trier correctement vos tubes vides de crème solaire.

Vous pensez adopter un mode de vie zéro déchet exemplaire : vous refusez les sacs en plastique, vous recyclez, vous compostez… et pourtant, ces objets du quotidien qui sabotent vos efforts zéro déchet pourraient bien se cacher sous votre nez. Eh oui, certains produits apparemment inoffensifs génèrent des déchets ou des pollutions insoupçonnées, mettant à mal vos bonnes intentions sans que vous le sachiez. Faisons le tour de 5 de ces ennemis cachés de la poubelle vide. Vous découvrirez pourquoi ils posent problème et, surtout, comment s’en passer ou les gérer autrement pour rester fidèle à votre démarche écologique. C’est parti pour traquer ces saboteurs de l’ombre de notre quotidien !

En France, nous produisons encore environ 525 kg de déchets ménagers par an et par habitant, soit près de 10 % de l’ensemble des déchets générés dans le pays. Malgré une baisse timide ces dernières années, la quantité de déchets reste très élevée et met en péril les écosystèmes. La démarche zéro déchet séduit de plus en plus parce qu’elle offre un moyen concret de réduire son impact environnemental et d’adopter une consommation plus responsable. Mais la route est souvent semée d’embûches : entre les idées reçues, l’envie d’aller trop vite et la pression sociale, les bonnes intentions peuvent rapidement se transformer en frustration. Pour qu’une transition soit durable, il faut accepter d’apprendre, de faire des erreurs et de s’améliorer pas à pas. Nous passons ici en revue 7 erreurs courantes à éviter pour réduire vos déchets et proposons des solutions simples pour avancer sereinement.

Vous l’avez peut-être entendu récemment : l’Union Européenne et les États-Unis ont enfin trouvé un terrain d’entente sur un nouvel accord douanier. Cette annonce, accueillie avec enthousiasme, pourrait rapidement avoir un effet concret sur le quotidien des consommateurs. Alors, accord douanier UE-USA : votre panier bientôt moins cher ? On fait le point pour vous.

Chaque été, nos plages sont victimes de leur succès : serviettes à perte de vue, glacières débordantes… et trop souvent, des déchets abandonnés. Pourtant, profiter du sable chaud et des vagues peut parfaitement rimer avec écologie. Avec quelques objets bien choisis, il est tout à fait possible de passer des journées au bord de la mer tout en respectant l’environnement. Voici les 7 essentiels zéro déchet à la plage pour un été responsable, sans compromis sur le plaisir !

Le jeudi 24 juillet 2025, l’humanité a atteint le Jour du dépassement de la Terre pour l’année 2025 : en à peine sept mois, nous avons consommé l’ensemble des ressources que la planète peut régénérer en un an. Autrement dit, à partir de cette date, nous vivons « à crédit écologique » pour le reste de l’année, en puisant dans les réserves naturelles de la Terre plus vite qu’elles ne se renouvellent. Cette année, ce seuil symbolique est franchi huit jours plus tôt qu’en 2024, signe d’une accélération de notre surconsommation des ressources à l’échelle mondiale. Les experts alertent sur le fait que cette situation compromet la durabilité des écosystèmes et menace les conditions de vie futures si rien ne change.

Les Zones à Faibles Émissions (ZFE) n’ont pas dit leur dernier mot. Alors même que l’Assemblée nationale a voté en juin la suppression de ces zones anti-pollution, une pétition citoyenne relance le bras de fer autour des ZFE. D’un côté, de nombreux automobilistes en colère et certains élus fustigent un dispositif jugé injuste socialement. De l’autre, des défenseurs de l’air pur (experts de la qualité de l’air, collectivités locales et citoyens inquiets pour la santé publique) se mobilisent pour sauver ces zones protégées. Résultat : le débat fait rage à nouveau en plein été, et le sort des ZFE est plus incertain que jamais.

La Cour internationale de justice (CIJ) a frappé un grand coup ce 23 juillet 2025. Dans un avis consultatif historique rendu à La Haye, la plus haute juridiction de l’ONU déclare sans détour que le changement climatique constitue « une menace urgente et existentielle » pour l’humanité et la planète. Cette déclaration, inédite à ce niveau de justice internationale, marque un tournant symbolique et juridique majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique mondiale : c’est la première fois que le dérèglement du climat est explicitement reconnu comme un péril de cette ampleur par la CIJ. Il était temps, diront certains, tant les signaux d’alarme climatiques se multiplient (records de chaleur, sécheresses et inondations catastrophiques en série…). Désormais, même les juges en robe noire sonnent l’alerte : la crise climatique n’est plus seulement l’affaire des scientifiques et des militants, elle devient aussi celle du droit international. La justice mondiale fixe enfin les règles du jeu pour les États !

Les placards débordent, les bornes de collecte aussi, et pourtant la filière textile française du recyclage est à deux doigts de craquer. Pour éviter l'effondrement, le gouvernement vient de débloquer une aide exceptionnelle de 49 millions d’euros pour 2025. Une nouvelle qui tombe à pic pour un secteur en crise, mais stratégique à la fois pour la planète et l’économie circulaire. À quoi va servir cet argent ? Qui est concerné ? Et pourquoi cette filière si essentielle est-elle aujourd’hui en péril ? On fait le point sur ce plan de sauvetage cousu main, et on vous explique aussi comment vos vieux t-shirts, et autres vêtements usagés, abîmés et usés peuvent encore avoir de l’avenir.

À Vannes, on aime les ruelles pavées, le beurre salé et les ciels changeants du golfe. Mais un vent un peu moins marin souffle depuis quelque temps : celui des Zones à Faibles Émissions (ZFE). Et avec lui, son incontournable acolyte : la vignette Crit’Air. Entre obligation nationale et volontarisme local, la ville de Vannes s’interroge : faut-il instaurer une ZFE ? Et si oui, comment faire sans pénaliser les habitants, les artisans, les professionnels de santé et tous ceux pour qui la voiture est un outil, pas un luxe ? Car derrière cette mesure, les enjeux sont multiples : transition écologique, justice sociale, qualité de l’air, attractivité économique... Autant de défis à relever, dans une ville à taille humaine où la voiture reste essentielle. Et l’on sent bien que ce chantier ressemble parfois à un vrai casse-tête : comment concilier contraintes nationales, réalités locales et attentes citoyennes ? Face à cette transition qui peut inquiéter autant qu’elle peut enthousiasmer, il est temps de faire le point. Que prévoit la ville ? Qui sera concerné ? Combien cela pourrait-il coûter ? Et surtout, comment éviter que la transition écologique ne tourne à la fracture sociale ?

Le 17 juillet 2025, le gouvernement britannique 🇬🇧 a présenté un plan audacieux : abaisser le droit de vote à 16 ans au Royaume‑Uni, y compris pour les élections nationales. Cette réforme s’inscrit dans une stratégie démocratique globale visant à moderniser le système électoral et restaurer la confiance des citoyens dans leurs institutions. Pourquoi ce choix ? Où en est-on concrètement dans cette révolution politique made in UK qui vise les adolescents ?